lundi, décembre 29, 2008

Les articles de journaux

J'écolo-mise
Aujourd'hui. L'association Aderscis lance un projet d'exposition intitulée "J'écolo-mise" axée sur l'éco-citoyenneté avec une réunion-débat qui sera entièrement prise en charge par les jeunes. Aderscis convie toutes les associations et structures concernées par la jeunesse et l'environnement à participer avec elle à ce projet. Une première rencontre aura lieu ce jeudi 13 novembre à 14h au centre social et familial Victor-Hugo, à Schiltigheim.

DNA/nov.2008

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Strasbourg - Schiltigheim / Au centre social et familial Victor-Hugo

Voyage parmi les femmes du monde

Albera Pinol, qui représente l'Association pour le développement des relations sociales et culturelles intercommunautaires de Strasbourg et environs, explique : « On a voulu marquer la Journée mondiale de la femme d'une autre manière, au travers de la connaissance et de la fraternité ; ici on manque de connaissance d'une minorité à l'autre ».
Photos et robes de mariées orientales
Pour la deuxième année de cette manifestation, amenée à se pérenniser, une exposition de photos de femmes du monde (*) a été réalisée au centre social et familial Victor-Hugo à partir de photos amateurs pour la plupart : à partir des femmes du quartier, on s'évade au Kenya, au Mexique, à l'Ile Maurice. Certaines photos, prises par des professionnels, étaient particulièrement touchantes, telles que la femme irakienne vue par l'objectif d'Ali Öz, ou la Palestine photographiée par le Bischheimois Albert Huber. Mais ce qui a le plus marqué la soirée, c'est l! e défilé de robes de mariées orientales organisé par une boutique de la ville, notent, encore émerveillées, Christiane et Denise, membres du conseil de quartier. Blanche et Rachelle, d'origine africaine, révèlent ce qu'évoque pour elles la journée de la femme : « C'est une totale liberté, une fois par an les femmes ne font rien, c'est l'homme qui fait le ménage, les courses », se réjouissent-elles. Environ 70 personnes se sont retrouvées au centre social. Albera Pinol pense avoir atteint son objectif : « J'ai eu l'impression que tout le monde se retrouvait et de permettre aux habitants qui ne peuvent pas partir, de voir d'autres visages ». Une soirée à l'image d'une citation d'Angélus Silesius choisie et recopiée par les femmes du cours de français du centre : « Plus se joignent de voix diverses et contraires, plus merveilleux aussi résonne le concert ».
A.Gr.
(*) L'exposition photo « Le monde dans les yeux des femmes » est visible jusqu'au 15 mars au CSF Victor-Hugo, puis du 16 au 23 mars au CSC Alfred-Sorgus du Marais.


© Dernières Nouvelles d'Alsace - 11.3.2007

  • Schiltigheim-Bischheim / Exposition photo

Le monde dans les yeux des femmes Pour monter l'exposition « Le monde dans les yeux des femmes », le centre social et familial Victor-Hugo et l'association ADERSCIS appelent les photographes amateurs à la rescousse.

L'ADERSCIS (*) et le centre social et familial Victor-Hugo (quartier des Ecrivains) s'associent pour préparer une exposition photo destinée à célébrer la journée mondiale de la femme, le 8 mars.Son thème : « le monde dans les yeux des femmes ». Avec un double but : permettre à ceux qui n'ont pas les moyens de voyager à l'étranger de découvrir d'autres pays, d'autres visages, tout en luttant contre les discriminations sexistes, raciales ou religieuses.

Les organisateurs de cette exposition comptent sur les photographes amateurs pour leur fournir des souvenirs de voyage, des photos de lieux, d'habitants, de femmes... Une courte autobiographie ainsi que quelques lignes sur les impressions du photographe permettront de légender les clichés.
SoW

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Diversité culturelle

http://www.educationsansfrontieres.org/article.php3?id_article=4295

Ambiance chaleureuse, hier, à la salle des fêtes du Cheval blanc de Bischheim où la 11e fête des cultures de l’association Pas/sages a battu son plein.A l’image des bénévoles qui ne ménagent pas leurs efforts pour la faire vivre, en salle ou derrière les fourneaux, la fête des cultures de l’association Pas/sages a beau en être à sa onzième édition, elle ne s’essouffle pas.Hier, une programmation tous azimuts a attiré un public plus varié et plus nombreux que lors des précédentes éditions. L’exposition sur le superbe calendrier « Le respect en fêtes » que vient de réaliser l’association avec des écoliers bischheimois donnait immédiatement le ton.Année après année, c’est toujours le même combat pour la tolérance et le respect des différences fondé sur la connaissance de l’autre, avec une fougue intacte.La volonté d’élargir la conscience de citoyens actifsLes stands d’information tenus par les associations partenaires ainsi que par la librairie Caractères allaient dans le même sens, celui d’une volonté d’élargir la conscience de citoyens actifs. Idem pour la table ronde animée par Richard Sancho-Andréo, président de Pas/sages.Eric Faure, président de Lupovino, Jacqueline Jacques, présidente de l’association des Parents habitants du Guirbaden (Bischheim), Eric Schultz, coordinateur du Réseau Education sans Frontières, et Jacqueline Martin, du Théâtre du Potimarron, venue faire part de l’expérience sud-africaine, se sont penchés sur la problématique de la citoyenneté à concevoir désormais à l’échelle de la planète ou à construire tout d’abord au plan local. La pertinence de la dernière solution a semblé l’emporter.Programmation tous azimutsUne solution dont la convivialité est l’un des ingrédients. Après un apéritif animé par Sylvain Piron et Roland Engel avec 170 convives et des nems, entrée chaude qui a donné des sueurs froides à ceux qui l’ont réalisée, le déjeuner a remporté un franc succès. Il en fut de même pour les spectacles de l’après-midi qui ont vu se succéder des bénévoles enthousiastes de tous âges et de toutes cultures.Sur scène, en plus des sautillantes demoiselles des Griffons de Vendenheim, des athlètes de Capoeira Brasil, du numéro d’un duo magique issu de l’Association tchétchène d’Europe, des danses égyptiennes d’un atelier du centre multi-activités de la SNCF (CMA), on a pu voir -une première- le groupe folklorique de Hoenheim rajouter par ses danses une corde typiquement alsacienne à l’arc culturel de la fête.Moments plaisants ou émouvantsBien d’autres moments plaisants ou émouvants durant l’après-midi, avec les chansons turques de la petite chorale enfantine de l’ADERSCIS, le rap au féminin de Peric Dragana, 18 ans, puis celui de ses confrères du quartier des Ecrivains, la musique russe et tzigane du groupe Taïga, les contes africains des « Amis du Baté », ou la prestation de l’atelier vocal du CMA de la SNCF, « Les voix du rail ».Avec leur reprise d’un tube de Yannick Noah, 18 gamins de 6 à 12 ans du centre social et familial Victor Hugo ont sans doute gagné la palme de la fraîcheur en distribuant des tulipes au public après s’être époumonés sur un refrain dans le vent : « Puisqu’il faut changer les choses, aux arbres, citoyens » !Sophie Weber Édition du Lun 12 fév. 2007 Parmi les musiciens de toutes origines qui ont animé la fête, le groupe Taïga. (Photo DNA - Laurent Réa)

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(*) ADERSCIS : Association pour le développement des relations intercommunautaires de Strasbourg et environs (www.aderscis.blogspot.com). Pour tout renseignement : CSF Victor-Hugo, 4, rue Victor-Hugo à Schiltigheim, tél. 03 88 62 14 13 ou ADERSCIS, 6, rue d'Obernai à Schiltigheim, tél. 08 72 88 33 35 ou 06 65 71 50 05, ou par e-mail : alberapinol@yahoo.fr

© Dernières Nouvelles d'Alsace - Édition du Ven 26 jan. 2007

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  • Sur le vif

Dans le cadre des actions autour de la journée internationale contre les violences à l'encontre des femmes, qui aura lieu samedi, l'Association pour le développement des relations intercommunautaires (ADERSCIS) organisait, hier, une réunion-débat au centre social et familial Victor-Hugo, dans le quartier schiliko-bischheimois des Écrivains.Tour à tour Franca Sieffert, responsable du lieu d'écoute de SoS Femmes Solidarité, - l'ancien SoS Femmes battues -, et Mira Hilal, psychologue clinicienne et analyste, ont abordé le thème des violences conjugales, dont est victime une femme sur dix, tous milieux confondus. Avec une question cruciale, celle de la parole qui tarde, de la victime dont la plainte met de longues années à faire surface. Signe des temps, les écoutants de SoS Femmes Solidarité reçoivent de plus en plus d'appels de l'entourage, familial mais aussi professionnel, des femmes maltraitées.

Violences contre les femmes : en parler
Malgré la complexité de l'approche psychanalitique du sujet, qui a désarçonné un public peu formé à cette approche, le débat qui suivit l'exposé fut riche. La présidente d'ADERSCIS, Albera Pinol, s'est notamment efforcée, aidée par les questions du public, de revenir à des réalités plus terre à terre. Tristes réalités que ces femmes, -et parfois ces hommes-, mariées contre leur gré, de ces épouses tuées pour avoir voulu quitter un homme violent. Et ceci malgré un dispositif législatif favorable, ce qui est loin d'être la norme au niveau international.Pour celles et ceux qui se sentent concernés, le débat sur ce thème brûlant continue samedi par le biais de différentes opérations, au CSC de Cronenbourg de 8 h30 à 17 h, au Foyer Regain de 10 h à 14 h, et dimanche à la maison d'Amnesty à 10 h30 (DNA de mardi).
Sophie Weber

Pour joindre SoS Femmes Solidarité : Tél:03 88 24 06 06 DNA Édition du Jeu 23 nov. 2006
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  • Schiltigheim - Bischheim - Strasbourg / Réunions-débats

Journées pour l'élimination des violences à l'encontre des femmes
Instituée par les Nations Unies il y a six ans, la journée pour la lutte contre la violence à l'égard des femmes permet de se pencher sur un phénomène toujours d'une brûlante actualité.

Mercredi 22 novembre. L'Association pour le développement des relations intercommunautaires (ADERSCIS), en collaboration avec l'association « SoS Femmes Solidarité », organise mercredi 22 novembre au centre social et familial Victor-Hugo, dans le quartier schiliko-bischheimois des Ecrivains, une rencontre-débat sur ce thème. « L'occasion de vous exprimer, vous informer et de poser vos questions à des personnes qualifiées sur ce sujet qui nous concerne tous », précise l'ADERSCIS. Un petit déjeuner permettra de commencer la réunion de façon conviviale. De 9 h à 11 h au CSF Victor-Hugo, 4, rue Victor-Hugo à Schiltigheim.
Samedi 25 novembre. Dans le cadre de la journée internationale pour l'élimination de la violence, l'Asttu (association de solidarité avec les travailleurs turcs) et le centre socioculturel Victor-Schoelcher organisent une rencontre de sensibilisation, de communication et d'échange, samedi au CSC Victor-Schoelcher, 56 rue du Rieth, à partir de 8 h 30.
Au programme : 8 h 30 petit déjeuner puis à partir de 9 h 30, rencontre avec Geneviève Louisadat et Franca Sieffert, respectivement présidente et responsable de SOS femmes Solidarité, ainsi qu'Isabelle Collot, permanente au Mouvement du Nid.
A partir de 14 h, projection du film « Le Mariage forcé », conçu par des jeunes lycéens de Seine-Saint-Denis et présenté par l'Observatoire départemental (93) des violences envers les femmes et le Comité de la prévention des agressions sexuelles et de la maltraitance. Le film sera suivi d'une discussion jusqu'à 17 h, animée par Marie-Françoise Meyer et Isabelle Mehl, du Mouvement français pour le planning familial. La journée se terminera par un goûter convivial. Renseignements au CSC Victor-Schoelcher, 56 rue du Rieth à Strasbourg-Cronenbourg. Tél: 03 88 77 76 75.
Samedi 25 novembre. Portes ouvertes au foyer Regain, 18 C rue du Ban-de-la-Roche. De 10 h à 14 h.
Dimanche 26 novembre. Petit déjeuner débat à la maison d'Amnesty à Strasbourg à 10 h 30 sur le thème de la violence domestique.

DNA Édition du Mar 21 nov. 2006

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  • Schiltigheim-Bischheim / Association Aderscis

Repas solidaire
Par le biais de ses ateliers cuisine, l'association Aderscis (association pour le développement des relations intercommunautaires) invite à créer autour du repas.
Un repas, ce n'est pas simplement le moyen de fournir à son corps la nourriture qu'il réclame. Cela peut devenir, pour peu que l'on s'en donne la peine, un moment de partage qui fait tomber bien des barrières. Forte de cette idée, l'association Aderscis organise régulièrement au centre Victor-Hugo, dans le quartier des Ecrivains, des ateliers cuisine.
Lundi dernier, il s'agissait d'une opération hors normes puisque les participants n'étaient pas des habitants du quartier. Marie-Thérèse, Serge et Driss, sont hébergés provisoirement au Château d'Eau, une structure dans laquelle travaille la présidente d'Aderscis, Albera Pinol. Parce que les éducateurs du Château d'Eau veulent aider davantage leurs protégés, parce qu'ils n'ont pas peur d'être des « salariés bénévoles », ils s'évertuent à offrir aux SDF des occasions de sortir de leur solitude. Pari réussi lundi dernier : Marie-Thérèse, Serge, Driss et leurs éducateurs ont dégusté en toute convivialité les pizzas turques et la salade qu'ils venaient de concocter.
Ce soir, à partir de 19 h, c'est de la cuisine antiochienne qui sera proposée aux habitants du quartier des Ecrivains. L'atelier, animé par Irfan Karacalli, affiche déjà complet, mais il reste des places pour le dîner. Le prochain repas aura lieu, jeudi 9 novembre, pour thème la cuisine libanaise.

SoW
Pour le repas de ce soir, réservations au centre au 03 88 62 14 13. Prix du repas 4 €.
Édition du Lun 16 oct. 2006 * Dernières Nouvelles d'Alsace

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  • Schiltigheim-Bischheim

Repas solidaires
Dimanches 1er janvier. Le centre social et familial Victor Hugo organise avec ses partenaires ADERSCIS et Marie PINOL , des repas pour les sans-abri, comme ils l'ont déjà fait les 25 et 26 décembre. Ces repas, élaborés notamment avec les administrateurs et des jeunes du quartier, seront portés dimanche à partir de 19h30 aux personnes concernées.

Edition du samedi 31 déc. 2005 © Dernières Nouvelles d'Alsace